LES ARTISTES EN RÉSIDENCE (2007-2023)
>>> ! PROCHAINES RÉSIDENCES > OCTOBRE 2023 !
Depuis 2022 les résidences d'Incident.RES sont désormais dépendantes de
⌘+P.
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Fred Guzda & Sébastien Hoëltzener<br><br>
Fred Guzda<br>
Vit et travaille (entre autres) à Tours. Diplômé des Beaux-Arts de Paris. Docteur en esthétique. Chausse du 43.<br>
Aucun matériau, aucune forme, aucun processus ne mérite à mon sens moins d’attention ou d’intérêt qu’un autre. Ni plus. Ce qui (m’)importe c’est ce qu’une œuvre devient lorsqu’elle s’expose, surtout si alors son sens déborde son origine et ses motifs supposés. Ainsi mon travail s’efforce de mesurer la distance entre les œuvres et les discours ou récits qui s’y rapportent, en particulier ceux que l’artiste produit ou qu’on lui attribue. Loin de voir dans cette distance un préjudice, elles font l’hypothèse d’une altérité fondamentale propre au phénomène artistique, qui impose un élargissement de la figure de l’artiste et du concept d’auteur eux-mêmes.<br>
Expositions (sélection) : <br>
• Six, avec Arnaud Vasseux, Xavier Geneau, Catherine Melin, Centre Noroît, Arras, 1995.
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• Collaboration à Neurone et Bonne Nouvelle, dispositifs artistiques en ligne de Bruno Saulay, 2003.
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• Prolégomènes à toute œuvre future, 1, OÙ Lieu d’exposition pour l’art actuel, Marseille, 2008.
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• Une investigation soigneuse des opacités du signifiant (livre d’artiste), collection Poïein (volume 86), 2010.
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• Acuité visuelle, L’identité remarquable, Orléans, 2011.
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• Le Chef-d'œuvre inconnu, présenté dans le cadre de l'exposition collective En Projets, commissariat Norbert Godon, Espace Khiasma, Les Lilas, 2011.
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• Artiste ⇔ Œuvre ⇔ Exposition, commissariat Jérôme Diacre, Eternal Gallery, Octroi Nord-Est, Tours, 3 septembre - 4 octobre 2020.
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• Lv 19, 28 + Rien ni personne, présentés à l’occasion des Portes Ouvertes des Ateliers d’Artistes, octobre 2020, Montreuil, à l’invitation de Frédéric Prat.
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• Le Fantôme d’Orozco, présenté dans le cadre de Rad’art, à l’invitation de Franck Gourdien, Port-Louis, septembre 2021.
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• Rien à Voir #0, exposition collective présentée à l’occasion des Portes Ouvertes des Ateliers d’Artistes, Montreuil, octobre 2021.
• Des ans ont mon tout mais si moi je suis il vu du sol une chose en soi est elle même, avec Nico Nu et Véronique Mullier à l’Étoile bleue, Tours, 13-16 décembre 2021.
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• Faire (et) Voir, avec Sébastien Hoëltzener, Galerie du collège Marcel Duchamp, Châteauroux, oct-nov 2022.
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Sébastien Hoëltzener<br>
Vit et travaille (entre autres) à Saint-Pierre-des-Corps. <br>
Jeunesse faite de déplacements, surtout en Outre-mer (Martinique, Guyane). Écoles d'art : Reims, Fort-de-France, Tours. Fixation en Région Centre Val-de-Loire. <br>
En 2006, résidence <em>À partir de trois c'est la foule</em>, avec Nicols Royer, Xavier Drong, au Centre d'art de Pougues-les-Eaux, suivi d'autres expériences d'expositions avec ce centre d'art (2007, 2009). Galeriste, pour montrer des artistes : Identité Remarquable, à Orléans (2009-2015) ; Artboretum, lieu d'art contemporain à Argenton-sur-Creuse (avec Jacques Victor Giraud, 2010-2011). Réalisation d'une sculpture monumentale à Saint-Paterne-Racan (sur le parc de stationnement de l'entreprise ASP technologies, en 2008, par le biais de l'association Mode d'Emploi). <br>
Avec Pierre Feller, soutenu par la DRAC Centre pour <em>Cher Thésée</em>, un parcours de sculptures dans les vestiges Romains des Mazelles, à Thésée-sur-Cher (2014) puis l'exposition <em>Les Pièges</em> (Artboretum, Argenton-sur-Creuse, 2015) soutenue par la Région Centre . <br>
Avec Fred Guzda, réalisation de <em>Faire (et) Voir</em>, travail soutenu par la DRAC et la Région Centre Val-de-Loire, élaboré en résidence à l'Antre-peaux de Bourges et montré à la galerie Marcel Duchamp de l'EMBAC, Châteauroux (2022), puis à la chapelle Sainte Anne, à La Riche (2023).
<br>Mon travail réfère à la sculpture et au jardin en tant que j’utilise la plupart du temps l’espace du lieu pour y disposer des éléments, parmi lesquels on se promène. Les différentes installations, en s’accordant au lieu dans la mesure du possible, sont des adaptations à ce qui est déjà-là, en vue de mieux le montrer. Ceci, pour moi au moins, soulève des questions par redondance à l'égard de ce que je donne à percevoir, du fait des moyens employés. Autre particularité de mon travail, qui peut se rattacher peut-être à la première citée ; je réfléchis, élabore et fabrique la plupart du temps (sans que ce soit systématique) avec quelqu’un d’autre : en duo. C’est une façon de privilégier et de montrer le dialogue comme une forme pouvant produire d’autres formes. Le dialogue surtout est un moment qui informe la langue, qui la produit. Tout le travail que je fais est en fait une question posée sur les moyens de l’expression, au sens d’une recherche des limites, physiques ou plastiques, entre ce qui peut et ce qui ne peut pas se rendre signifiant à l’Autre. <br>
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Pendant la résidence<br>
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Début 2022, Sébastien Hoëltzener et Fred Guzda ont passé quelques semaines en résidence à l’Antre-Peaux (Bourges) pour réaliser une série d’entretiens filmés. Chacun interrogeait l’autre sur divers sujets relatifs à une œuvre choisie par ce dernier pour l’occasion. Sept sujets, sept vidéos pour chacun, présentées sur autant d’écrans doubles. L’ensemble a été monté et a donné lieu à deux expositions successives, intitulées <em>Faire (et) Voir</em> : à la Galerie du Collège Marcel Duchamp (Châteauroux, oct-nov. 2022) et à la Chapelle Sainte-Anne (La Riche, février 2023). <br>
Ces conversations majoritairement improvisées ont été retranscrites, telles quelles ou presque, dans deux livrets (questions de SH à FG, questions de FG à SH), dont nous voulons désormais, en y joignant plusieurs textes supplémentaires, commandés auprès d’amis, faire la matière d’une édition autonome. Cette résidence ⌘+P sera consacrée à un travail de recherche, à la fois textuelle et graphique, destiné à concevoir et préparer la réalisation d’un nouveau volume.<br>
Le tout de l’ouvrage à plusieurs voix traitera de l’œuvre (réactualisée, en dehors de toute image non textuelle) par l’écart, avec une mise en forme dont nous rechercherons l'adéquation.<br>
<em>Faire et voir</em> (le livre) multipliant les points de vue, proposera plusieurs niveaux de lecture susceptibles à leur tour d'être commentés.
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OCTOBRE 2023 : Faire et voir, Fred Guzda & Sébastien Hoëltzener
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
JUILLET 2020 :
Roxane Jean (Fr)
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Claire Malrieux (Fr)
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ILS SONT PASSÉS PAR BRIANT(2007-2017)
Tous les ans, en dehors résidences, de nombreuses personnes viennent à Briant pour quelques jours ou pour une semaine, pour se servir de l'atelier ou parce qu'ils ont ponctuellement besoin d'un lieu pour se réunir ou pour produire, pour prendre un temps en dehors du monde, pour écrire, ou simplement pour une visite. Cela permet les échanges les uns avec les autres, ou avec les résidents, s'il y en a. Tous ces passages font aussi la richesse du lieu.
En voici quelques-uns et nous les remercions : Mathilde Guillemarre (scénographe), Vincent Regnault (traducteur), Stéphane Morel (imprimeur), Anne Gendrin (retraitée), Raphael Gendrin (Lycéen), Karl-Otto Von Oertzen (artiste - collectif Marswalkers), Alexis Chazard (artiste & enseignant), Maja Drzewinska (webmaster), Claire Laporte (médiation culturelle - centre d'art Passerelle), David Bruto (UTRA éditions), Odile Landry (artiste, enseignante à l'EESAB), Partick Landry (céramiste), Anna Hervé (éditrice chez Penguin), Charles Scott (architecte - Sheppard Robson), Maël Guesdon (musicien & philosophie - Magnetic Room), Marie de Quatrebarbes (auteure - Magnetic Room), Marielle Martin (musicienne), Marika Dermineur (artiste), Artheist (programmeur), Marie Mennestrier (direction, Abbaye de Maubuisson), Keren Detton (direction Frac), Thorsten Streichardt (artiste), Yannick Liron (auteur), Joelle Bitton (chercheuse design interactif), "Jack" Boyer (Programmeur), Marie Daubert (graphisme), Martine Rondet (plasticienne), Mia Habib (chorégraphe), Sylvie Tossah (communication festival Aix-en-Provence), Guillaume Constantin (artiste), Nicolas Fourgeaud (théorie de l'art) & Maryline Heck (chercheuse, litérature contemporaine), les lectures électriques, Camille de Singly (critique)...