Dès son arrivée au temple de Fushimi-Inari, le visiteur est engagé à effectuer un rituel consistant à se laver les mains et à boire de l’eau fraîche. Cette relation à l’eau va se reproduire tout au long du chemin. Par nécessité physique d’abord (le trajet est long et plutôt physique), mais aussi par spiritualité (ce rituel apparaît, comme celui de soulever des pierres – j’y reviendrai – une ponctuation où l’on se soulage de quelque chose, où l’on se débarrasse d’un poids, ne serait-ce que de sa sueur).
Étangs, fontaines, ruisseaux, voici quelques exemples rencontrés sur le chemin…