Cette semaine, je corresponds avec Karine Lebrun par le biais de son site internet, pour prolonger la recherche A.F.K. dont l’exposition éponyme à lieu à Bordeaux.
La conversation commence par ce billet :
Conversation avec Julie Morel du 14 au 30 avril 2014
Par karine, dimanche 13 avril 2014 Ã 14:41 :: Julie Morel
Ton exposition A.F.K (Away From Keyboard) a lieu en ce moment à Bordeaux.
Tu m’as dit qu’elle n’était qu’une étape. Qu’elle faisait partie d’un ensemble que tu projetais de mettre en Å“uvre en vue de matérialiser tes recherches en cours.
Même si une exposition peut se déployer en plusieurs temps, s’inscrivant dans une série, elle présente généralement des Å“uvres achevées. Ton projet semble différent et ouvrir l’espace d’exposition au processus de recherche dans sa dimension la plus incomplète, sans pour autant négliger la mise en forme de tes idées que tu livres ainsi au public de la galerie, mais en risquant aussi de décevoir un certain nombre de visiteurs.
La forme de ton projet résulte de l’observation qu’un objet, artistique ou non, fluctuant et/ou même flottant entre ces deux statuts, génère aujourd’hui plusieurs versions produites, diffusées et réceptionnées par toute la panoplie de l’appareillage numérique. Ce que tu expliques ici : http://incident.net/users/julie/wordpress/?p=6466
Je t’invite donc à partager et à poursuivre cette réflexion le temps de ton exposition.
Tu m’as dit qu’elle n’était qu’une étape. Qu’elle faisait partie d’un ensemble que tu projetais de mettre en Å“uvre en vue de matérialiser tes recherches en cours.
Même si une exposition peut se déployer en plusieurs temps, s’inscrivant dans une série, elle présente généralement des Å“uvres achevées. Ton projet semble différent et ouvrir l’espace d’exposition au processus de recherche dans sa dimension la plus incomplète, sans pour autant négliger la mise en forme de tes idées que tu livres ainsi au public de la galerie, mais en risquant aussi de décevoir un certain nombre de visiteurs.
La forme de ton projet résulte de l’observation qu’un objet, artistique ou non, fluctuant et/ou même flottant entre ces deux statuts, génère aujourd’hui plusieurs versions produites, diffusées et réceptionnées par toute la panoplie de l’appareillage numérique. Ce que tu expliques ici : http://incident.net/users/julie/wordpress/?p=6466
Je t’invite donc à partager et à poursuivre cette réflexion le temps de ton exposition.