> What’s on

news

Conférence « Les plasticiens du Web »

Conférence « Les plasticiens du Web », Centre G. Pompidou. Julie Morel, dans les cadre des cartes blanche à Incident.net
> Lien « Centre Pompidou »
Présentation d’incident :
L’intérêt d’incident est aussi le fait qu’une somme individualité se retrouvent sur un même lieu, le site internet et livrent le résultat de leurs recherches, parfois individuelles, parfois communes.
Nous nous intéresserons pendant la conférence à une méthode de travail qui s’est développé naturellement au fil du temps : les « questions-réponses ».

Nous prendrons pour cela 2 pratiques individuelles :
– celle de Julie Morel, avec le texte comme image
– celle de Reynald Drouhin, avec l’exploration du réseau
nous ouvrirons ensuite ces thématiques à des travaux produits par d’autres membres d’incident.

Traduction

trans15.jpg

La question de la traduction a toujours été inhérente à mon travail, qu’il soit textuel ou non. En 2004, incident a été commissionné par la Galerie Basekamp (Philadelphie) pour produire une exposition sur ce thème. J’y ai présenté Random Access Memory, Générique, Soumission, et Extrait.

Sur nos écrans et dans nos existences, des 0 et des 1, une suite interrompue de chiffres traduits en images, en textes, en sons. À partir d’éléments identiques, un tissu perceptif complexe a émergé.

La traduction est une problématique qui permet d’aborder l’ambivalence profonde du numérique. Car si ce dernier réduit d’un côté les différents médias (image, son, texte, vidéo, etc.) à un langage unique constitué de 0 et 1, et donc les rend donc traduisibles de façon littérale, d’un autre côté, la traduction exacte est impossible.

http://incident.net/events/translation/archives/__/index.html

trans20.jpg

On our screens and in our existence, 0 and 1, an unbroken serie of numbers translate our sensations into images, texts and sounds. From identical elements, have emerged a complex perceptive web.
Translation is a problematic which allows us to question the deep ambivalence in the digital. On one hand Digital constrains various medias (images, texts, videos, etc.) into a unique language formed of 0 and 1, which makes it translatable in a literal way, on the other hand an exact translation is impossible.

Hidrazone, UK

hidrazone.jpg

Julie Morel. Commissionnée par Hidrazone, UK, pour un projet d’art numérique.
Julie Morel. Commissioned by Hidrazone, UK, to produce a digital art project.

>http://hidrazone.com/artists/julie_morel/julie_morel.html

HIDRAZONE is a space for practitioners and writers in the field of digital and interactive arts. We seek to encourage practical and theoretical research into a wide variety of digital art (new media art) such as net art, interactive art, software art, digital painting, and computational video. Our main goal is to provide a forum for encouraging aesthetic quality in digital and interactive arts practice, as well as promoting critical discourse and theoretical commentary in this emerging field.

La nuit Blanche (2003)

> Nuit Blanche, sélection officielle. Julie Morel/Incident.net. Performance dans une chambre d’hôtel à peine éclairée

tremoillle4.jpg

La demande de Pierre Bongiovani, commissaire de la Nuit blanche était simple : 3 jours dans un palace parisien, deux chambres sont mises à notre disposition, les visiteurs s’y succèdent le soir de la nuit blanche, toutes les 20 min. Nous devons être là pour répondre aux questions qu’ils se posent sur nos travaux.
Nous avons décidé de court-circuiter le contexte de la rencontre, pour re-virtualiser une situation qui ne devait pas l’être et entrer dans un dialogue écrit et visuel différent avec les visiteurs :
L’une des chambres est fermée (et inconnue) au public. Nous y sommes installés, nous n’en sortons pas de la nuit.
L’autre chambre, une suite, est ouverte au public, les travaux d’incident y sont montrés.
Les visiteurs sont seuls et peuvent regarder à leurs gré :
– Sur la table, un ordinateur : le site d’incident
– Dans le salon, Moniteur + DVD : vidéos de Julie Morel et Reynald Drouhin
– Dans la salle de bain : une installation de Grégory Chatonsky
– Sur le lit : une pièce sonore de Michael Sellam
Enfin autre un ordinateur va faire le lien entre les deux chambres : grâce à une Webcam et un chat, les visiteurs vont pouvoir entrer en contact avec les absents, cependant tout proches.

tremoillle1.jpg

tremoillle2.jpg

Sans commune mesure, images et textes dans l’art actuel

Sans commune mesure. Du 22 septembre au 1er décembre 2002, Le Fresnoy.

enum.jpg

Présentation du triptyque vidéo Temp/
« Générique »
« Soumission »
« Enumération »

> http://www.ciren.org/ciren/observatoire/002/index.html

Sur une invitation de Jean-Louis Boissier
« Pour les nouveaux supports de création et de diffusion que sont les CD-Rom et les sites Internet, la peinture comme le film, le livre bien sûr, fournissent des modèles d’une rencontre du texte et de l’image. Ce qu’il est convenu de nommer nouveaux médias donne cependant à cette coexistence un régime spécifique. Car l’ordinateur, instrument par excellence de l’agencement et des liaisons, traite indifféremment, dans les couches profondes de sa mémoire, texte et image. »

Galerie 13 Quai Voltaire (2001)

caisse.jpg

« Extrait » est présenté dans le cadre de l’exposition « Aller/Retour », au 13 quai Voltaire, du 22 au 29 juin 2001.
Commissariat : Tony Brown
Artistes : Jean Bedez, David Bornoff, Marina Chabrol, Anna Chkolnikova, julie Coutureau, Joséphine Faure, Laurent Grasso, Nicolas Henry, Glwaldys Kirschner, Julie Morel, Pat Paviani, Alex Pou, Robotella…

Take a Way (2000)

take1 take3

taw

> Installation d’après les photos du projet « Extrait » :

Le mois de novembre 2001 approche et la galerie Paris Project Room me contacte pour faire une exposition.
J’accepte et je fixe la date d’une courte exposition-performance de trois jours, du 5 au 7 novembre.
Je demande à un pâtissier d’imprimer ces douze photos sur du papier de riz comestible et de les présenter sur douze gâteaux d’anniversaire, véritables bijoux de crème pâtissière. Je commande aussi un gâteau avec mon acte de naissance.
Les gâteaux sont exposés pendant deux jours, ainsi qu’un couteau à disposition dont personne n’osera se servir pendant les deux premiers jours. Le troisième et dernier jour les gâteaux sont digérés par environ 80 personnes.
Cette exposition a vu le jour en collaboration et grâce aux discussions avec Ileana Gonzalez.