> What’s on

news

Conférence à l’école supérieure des beaux-arts du Mans, lundi 11 avril.

Je serai le lundi 11 avril au Mans pour une conférence sur le NetArt, et sur mon travail interactif ou lié à internet, à l’ESBA.
Sur une invitation de David Michael Clarke.

Je présenterai ma pratique liée à internet : vidéos, générateur de textes, utilisation du réseau dans des installations…
Je profiterai de cette conférence pour faire un petit panorama de la manière dont le NetArt est sorti de l’écran. En quoi le réseau a proliféré dans divers domaines de l’art, et comment aborder la matérialisation du réseau.

Julie Morel 1970

Vernissage à Plateforme

Le vernissage est une norme de présentation d’exposition inadaptée et peu généreuse. Depuis longtemps je me demande comment expérimenter une autre forme : quelque chose de plus proche du geste artistique, plus sincère et prolongeant le travail présenté.
Le lancement d’une exposition devrait être en cohérence avec la proposition artistique, l’ouvrir, voir en donner un instant une autre interprétation, ou encore même la remplacer (je pense par exemple à la démo), la questionner.
Dans mon idée, il faudrait aussi garder cet élément de rencontre sociale qui reste au cœur de cet évènement, mais en le rendant moins contraint & artificiel.
L’exposition « Bonus Track » à Plateforme m’a donnée l’occasion d’envisager et détourner la fonction de cet évènement dans son ensemble. J’ai en effet proposé à Laurie Bellanca et Phabrice Petit Demange des Lumineuses fièvres de travailler à un « bonus track » (= une chanson en plus) d’après un des morceaux du CD audio « Partition » qui est au cœur de l’expo, puis de faire un concert devant un néon, celui là même qui annonce : Bonus Track.
La soirée d’ouverture a donc été rythmée par des quart-d’heures américains – leur marque de fabrique – toutes les heures environ. Les visiteurs se sont rapidement pris au jeu, et victime de son succès, le vernissage s’est terminé vers 4h du matin ; )

Je suis très contente de cette proposition et c’est une chose que je n’aurais pas pu faire sans le concours des Lumineuses fièvres et de l’équipe de Plateforme (notamment Nicolas Maigret qui m’a aidé toute cette journée de montage).

Quelques photos prises par Vadim Bernard lors de cette soirée…
Et un article à propos de l’exposition, de Marie Lechner dans Libération.

« Bonus Track » – Exposition à la Galerie Plateforme, Paris – du 4 au 18 mars 2011

BONUS TRACK, une exposition de Julie Morel à Plateforme.

Du 4 mars – 18 mars 2011.
Vernissage le 4 mars de 18h à 22h, concert des Lumineuses Fièvres à 20h.

Si les Beatles ont utilisé le mot «Love» plus de 613 fois dans leurs chansons, si de Purcell à Scout Niblett, de Tino Rossi à Coco Rosie, le sujet de prédilection de la musique a toujours été l’amour, son pendant négatif – la séparation amoureuse – reste le thème le plus exploré dans la musique pop et électronique. «Bonus Track» réunit des propositions interrogeant la séparation amoureuse en musique à l’ère d’un tournant machinique de la sensibilité : où quand l’apparition du phonographe disqualifie la pratique amateur de la musique populaire, et quand l’apparition de l’ordinateur en engendre une nouvelle.
Les propositions présentées doivent être envisagées comme périphériques : citations, samples & échantillonnages, altérations de diverses écritures. Toutes interrogent la partition, célèbrent le plaisir ou la frustration liée à son déchiffrage.
«Ainsi, la pièce «Partition» est une relecture plastique & sonore, grâce à la machine informatique, de onze partitions de musique de bal de la fin du19ème siècle / début 20ème, trouvées dans le fond de partitions des Archives Départementales de la Dordogne. La phrase «You’ve Been Chosen as an Extra in a Movie Adaptation of the Sequel to Your Life», sérigraphiée à l’encre phosphorescente et visible uniquement lorsqu’il fait noir, est tirée du morceau «Shaddy Lane» du groupe Pavement. Quant à l’édition « Partition », elle regroupe les morceaux créés pour l’installation (des références aux moments les moins glorieux de l’émergence de la musique électronique) et un texte (fluctuant) de Yannick Liron que l’on suppose extrait d’une histoire d’amour.

http://plateforme.tk/

73 rue des Haies,
75020 Paris France.
Métro : Avron ou Buzenval.
Du mercredi au dimanche, de 14h30 à 19h30

Concert, Les lumineuses fièvres.
À l’occasion du vernissage de l’exposition « Bonus Track », Julie Morel convie les Lumineuses fièvres à jouer autour de leur thème de prédilection : le slow. « Une invitation à la réhabilitation du slow au 21ème siècle. Un concert-performance créé selon une libre interprétation de la musique “slow”. Phabrice Petitdemange & Laurie Bellanca proposent l’expérience vivifiante des quarts d’heure américains. Les auditeurs sont alors invités à se retrouver dans l’intimité d’être à deux, sans se connaître ni savoir danser afin de rencontrer à nouveau les peurs qui animaient leurs adolescences.
Munis d’un clavier, d’une boîtes à rythmes, d’une guitare et de quelques accessoires, ils revisitent les lois du genre en y associant des textes acides et hors de tout consensus. »

Galerie Plateforme

Souvenirs de la Gaîté

En 2002, avec 4 membres du collectif incident.net, nous avons conçu et produit le site internet du chantier de préfiguration de la Gaîté Lyrique (toujours en ligne, mais à consulter sur safari ou explorer, les plateformes ayant évoluées…).
J’ai fait beaucoup de dessins des lieux (alors encore « habités » par le parc d’attraction Planète Magique). Ces dessins ont servi de support pour ce site internet qui était comme une extension virtuelle du lieu lui-même, et renseignait des évènements en cours sur place.
Ce chantier, alors dirigé par Pierre Bongiovanni avec l’aide d’Anne Roquigny, a été un laboratoire incroyable pour les arts numériques : un temps et un espace au potentiel impressionnant, où nous nous sentions, malgré les contraintes (vétustés, contextes difficiles, moyens limités) extrêmement libres. Nous avions l’impression d’avoir un lieu que nous pouvions pratiquer : c’est à dire un endroit que nous habitions par le travail, où nous pouvions découvrir, rencontrer, produire et échanger avec un grand nombre d’artistes – plasticiens, musiciens, théoriciens mais aussi spectateurs ou simples habitants du quartier, curieux de passages…
J’en garde un très bon souvenir (si ce n’est la rapidité avec laquelle le projet s’est terminé car le chantier s’est arrêté brusquement, sans explications réelles) et je pense qu’il constitue un moment important pour les arts numériques à Paris : celui d’un réseau émergent, riche en rencontres et expérimentations. Pour ma part, je crois que c’est une chance que ce lieu ai eu cette histoire « désastreuse », qu’il ne soit pas devenu un lieu de mémoire de plus à Paris et qu’il puisse être dédié à des pratiques contemporaines.

C’est pour parler de cette expérience que mardi je suis retournée sur place, à la Gaîté Lyrique, pour participer à une interview qui sera retransmise sur France Culture le mardi 1er mars à 9:00, un documentaire d’Anaïs Kien, réalisé par Anne Fleury. J’y ai aussi rencontré Isabelle Foucrier qui prépare l’emission Métropolis (Arte) sur ce sujet.
Enfin, Elisa Mignot a fait cette petite interview, ou l’on peut voir des dessins et photos de la Gaité ancienne version : ici.

À la visite du lieu (qui n’a pas tant changé que ça – une impression surement due au fait d’avoir à traverser l’entrée d’origine), j’ai remarqué un côté vitrine (surprise par exemple de voir que l’on a rénové l’ancienne salle de balle telle qu’à son origine plutôt que de lui avoir donné un nouveau souffle), et les espaces d’expositions m’ont paru difficiles à investir… j’espère que les artistes auront quartier libre pour s’en emparer réellement. En revanche, j’ai trouvé que les lieux de production (ateliers, lieux de résidence, etc.) étaient réussis, agréables et l’on a envie d’y passer du temps et d’y travailler.
L’inauguration de cette nouvelle Gaîté aura lieu le 1er mars à 20:30 et j’espère que la programmation héritera de cette liberté que j’y ai connue.
See you there! : )

Rheum Nobile – Résidence à la maison populaire, Montreuil

Dans le prolongement de mon exposition au Bon accueil à Rennes où je montrais des néons et un dispositif liés à la lumière, me voici maintenant (j’en ai eu la confirmation pas Jocelyne Quélo la semaine dernière : ) en résidence in Situ à la Maison Populaire pour 1 an…
J’y développerai un projet en trois volets, intitulé Rheum Nobile.
« Rheum nobile » est un principe de travail qui permettra d’expérimenter un ensemble de dispositifs interactifs qui interrogent la matérialité du réseau, par le biais de la lumière artificielle. Si pour Marshall McLuhan la lumière artificielle est un médium qui ne dit rien mais qui est « capable de créer un environnement par sa seule présence », elle est aussi, pour peu qu’on l’éteigne un instant, révélatrice de l’absence liée à la pratique du réseau.

Lors de cette résidence de recherche, qui sera dans un premier temps très expérimentale, trois installations principales seront développées, qui interrogeront nos mécanismes de perception et la façon dont la lumière peut influencer l’appréhension des lieux que nous pratiquons. Ces installations couvriront divers territoires :

– une proposition dans l’espace public : Rheum Nobile, des photos de cette plante éponyme et des expérimentations plastiques dans des sucettes JC Decaux… Sachant que cette plante ne pousse qu’à plus de 4000m d’altitude et dans certaines conditions, je suis en train de me renseigner sur la meilleure période pour aller au Népal !
– une proposition dans un espace d’exposition : où je voudrais me lancer dans la production d’images en encre phosphorescente grand format ou directement à même le mur de la salle d’exposition. Et qui utiliserait un dispositif lumineux on/off (que j’avais voulu mettre ne place au Bon accueil, mais le temps nous a manqué). Cette installation devrait s’appeler « Light my Fire » – parce que j’ai horreur des Doors ; )
– la dernière dans un espace privé : probablement une réactivation de mon projet « Sweet Dream« , et là tout est encore à construire.
Le projet s’accompagnera aussi d’une extension sous forme de site internet et d’une publication, qui viendront vers la fin de la résidence (au printemps 2012).

Bivouac 2.0 à l’école d’art de Lorient

Cette semaine, j’ai invité Laurent Tixador (entre autre, car c’était une semaine très riche : il y avait aussi un atelier d’Antonin Fourneau et Sandra Lachance) à venir faire un atelier à l’école des Beaux-arts de Lorient.

Comme Xavier de Mestre, Laurent Tixador aime voyager. Même cantonné à l’espace d’une chambre ou d’un atelier, le fantasme de l’expérience aventurière persiste, et il s’adapte ou se perverti, bref se redéfini.
Le workshop “bivouac 2.0” à L’école supérieure d’art de Lorient est l’occasion d’habiter réellement un espace de travail : pendant 4 jours et 3 nuits, l’atelier de 5ème année servira de contexte, de “camp de base” à cette aventure intérieure. Ce workshop interroge le processus plutôt que la restitution, la discussion dans une pratique artistique, le travail collectif versus les envies individuelles, le rôle des outils, de la technique, de l’expérimentation ou du bricolage dans une pratique d’artiste.
Avec la participation de Rozen Andreatta et : Alexander, Barbara, Coralie, Delphine, Doriane, Eddy, Fabienne, Guillaume, Gwendal, Jérémy, Laura, Laure, Lola, Marion, Morgane, Perrine, Simon, Sylvain, et tous les électrons libres qui se sont greffés au fur et à mesure…
Le workshop a commencé par la prise d’un espace encerclé (la mezzanine de l’atelier des 4ème années) par un montage de barricades « anti-administration » ; ). Depuis ce matin, on est passé à la vitesse supérieure : le confort moderne…
Au delà de l’expérience du bivouac, avec l’énergie et les idées de Laurent et des étudiants, et sur un contexte plus global, ce qui me marque le plus c’est le fait qu’habiter une école d’art est devenu exceptionnel, une fête. Pour nous, pour moi, quand j’étais étudiante à Lyon puis à Paris (mais je pense que c’était le cas dans majorité des écoles avant 2000) c’était la norme. Le fait de pouvoir travailler tard et ne pas s’arrêter dans son élan, de pouvoir dormir là car il y a un matelas à disposition, ou ne pas dormir du tout. Exit aussi le soupçon d’un accident, d’un vol, d’un incendie qui décimerait le quartier entier (j’exagère à peine) ou autre qui ne planait jamais… C’était finalement très responsabilisant, dans le sens ou nous avions la charge de nos outils, de notre temps, de notre espace. J’ai retrouvé cela dans le bivouac cette semaine, et je dois dire que le travail n’était pas au centre du projet, ce qui était principal, mais néanmoins de taille, c’était la reconquête d’un espace de travail en tant qu’espace habité.
L’aventure se suit sur un blog à part :
BivouacLorient
ou
par les photos d’archives

Et quelques photos des workshops de Sandra, et Antonin :

Exposition « Partition » au Bon Accueil – Rennes, du 7 janvier au 27 février 2011

Vernissage le jeudi 6 janvier à partir de 18h30
Rencontre autour du travail le samedi 8 janvier à 17h
Exposition du 7 janvier au 27 février 2011

« Avec « Partition », le Bon Accueil initie une nouvelle série d’expositions intitulée «Le caractère fétiche de la musique » proposant de découvrir des artistes pour qui la musique, soit comme objet d’écoute, soit comme objet matériel, joue un rôle important dans leur travail.  La première exposition de cette série s’intéressera à la représentation de la musique.

Les œuvres proposées par Julie Morel sont le fruit de la découverte fortuite de partitions du 19ème siècle appartenant à un fonds d’archives. Après avoir opéré une sélection de douze chansons parlant de la séparation amoureuse, Julie Morel les a réinterprétées et créé des versions au goût électro-pop, et translittéré les titres de ces chansons en braille que l’on retrouve dans l’exposition sous forme de néons.
« Partition » s’appuie également sur la plurivocité du mot qui en français désigne à la fois la notation d’une composition musicale mais aussi le fait de diviser un disque dur en plusieurs parties. Le thème de la séparation amoureuse fait écho, non sans humour, à cette division, séparation en plusieurs « morceaux », d’un disque dur.
Une exposition à découvrir comme une mix-tape que n’aurait peut-être pas réfuté le héros de « Haute Fidélité » du romancier anglais Nick Hornby,  et surement destinée au « Sad Mac » du musicien  Stephan Mathieu ».
Damien Simon.

Merci à :
Damien Simon, Yuna Amand, ABnéon, Sylvain Lebeux, Stéphane Morel, ACDDP & DRAC Aquitaine.

LE BON ACCUEIL
74 canal st martin
35700 Rennes
09 53 84 45 42
contact@bon-accueil.org

Conférence-rencontre à l’École des Beaux-arts de Nantes / Mardi 14 déc. 2010, à 13h

Le mardi 14 décembre, je serai à l’École des Beaux-arts de Nantes pour une conférence « Archive/réactivation », suivie d’une discussion-rencontre avec les étudiants.
Cette intervention portera sur la réactivation d’archives. Je présenterai notamment le projet « Partition », construit sur une pratique de réactivation des archives par la transgression. C’est à dire de ne pas simplement réinterpréter ou organiser des archives pour mettre en lumière leur caractère historique, sociologique, etc, mais pour s’en emparer comme matériaux de base pour une proposition plastique autonome.

Dans le cadre du projet de recherche Plugin.
Sera aussi présent lors de cette conférence : Adolfo Vera.
Invitation : Véronique Verstraete.

Little Big bang, du 24 septembre au 8 octobre 2010 / Plateforme – Paris

C’est le titre de l’exposition à laquelle je contribue ce soir, qui marque l’ouverture de « Plateforme« .
> Vernissage le 24 septembre 2010 à 18h

Plateforme est un lieu de diffusion, de création et de ressource pour l’art contemporain qui fonctionne comme un espace partagé et fédérateur au sein duquel les artistes se réunissent dans la volonté d’une synergie des potentiels imaginatifs, créatifs et des compétences de chacun pour proposer une expérience alternative. Ce projet de lieu d’échange entre artistes, commissaires et publics est porté par L’entreprise, structure parisienne qui regroupe une cinquantaine d’artistes internationaux. Chaque mois Plateforme présente une exposition d’environ deux semaines suivie d’une programmation plus évènementielle (performances, projections…) tournée essentiellement vers l’expérimentation et la recherche. La sélection est orientée vers des pratiques artistiques exigeantes. Elle propose des projets d’artistes confirmés, nationaux et internationaux et ceux de la scène émergente. Plateforme s’inscrit dans la ville comme une passerelle pouvant rapprocher les disciplines et les formes pour construire au fil des rencontres et des découvertes les échanges indispensables à une expérience artistique et sociale intellectuellement et humainement stimulante.

Plateforme
73 rue des Haies
75020 Paris
Métro : Avron ou Nation
Tel : 01 40 09 71 84

Partition, exposition aux Archives départementales de la Dordogne, 15 sept 2010

Du 15 septembre au 5 novembre 2010 – Archives départementales de la Dordogne
Vernissage : Jeudi 16 septembre 2010 à 18h

Sur la Pelouse © Julie Morel 2009-2010

.

« Julie Morel a découvert la partothèque des Archives départementales et le fond de partitions d’Elie Dupeyrat, éditeur de musique de bal, implanté à Ribérac à la fin du XIXème siècle. Elle en a sélectionné douze titres tels que Sur la pelouse, Cœur brisé, En revenant de Bourgogne, Étoiles filantes… et en propose une interprétation contemporaine, via l’outil informatique, qui mêlera écritures & notations et production de morceaux électro-pop.
Ainsi, aux Archives départementales, elle sonorise les casiers servant aux utilisateurs à déposer leurs affaires personnelles avant d’entrer en salle de lecture. Aux visiteurs, elle propose la projection d’une vidéo réalisée à partir des signes graphiques de partitions et une application lumineuse : des néons reprenant sept titres dans un caractère proche de l’écriture en braille.
Des œuvres qui réactivent une partie du domaine historique par le biais de programmes informatiques. Nous voilà au cœur de multiples formes de langage où la recherche sonore acquière une dimension plastique. »

Langages numériques & arts visuels : rencontre au musée des B-A de Nantes le 17 juin

Jeudi 17 juin 2010 à 18h30, PiNG propose en collaboration avec le Musée des Beaux-Arts de Nantes la 3ème rencontre du cycle « Histoire(s) de l’art numérique », dans le cadre du chantier reNUM.
J’interviendrai donc sur le thème : « My life is an Interactive Fiction » : langages numériques et arts visuels ».

Depuis quelques temps dans mes recherches, il semblerait que le texte ai pris le dessus, dans sa dimension plastique, pour laisser de côté le système de langage qui lui était affecté – celui de l’ordinateur. J’espère que cette conférence sera l’occasion de me ré-interroger sur ma pratique liant le mot et l’ordinateur, l’occasion aussi de faire le point.

À ce jour, les deux projets en cours, « partition » et « You’ve Been Chosen as an Extra in Movie Adaptation of the Sequel to your Life », se concentrent sur des dispositifs. Et le texte (dans son contenu ou dans sa forme) est le porteur de ce rapport de force contingent à tous types de dispositifs…
Dans mes expérimentations, l’idée de dispositif a émergé assez récemment et naturellement puisque j’ai souvent envisagé une proposition plastique comme un mécanisme à même de révéler les forces à l’œuvre, agissantes, fonctionnelles ou passives à l’intérieur de relations (qu’elles soient plastiques-formelles ou humaines d’ailleurs).
J’aime beaucoup le mot dispositif, et disposition qui viennent du mot préparer et choisir. De même que les mots mécanisme, fonction, et appareil. Tous ces mots qui nous font croire que nous avons le pouvoir (alors que le dispositif se joue sans cesse de nous, qu’une fonction n’est qu’un système fermé qui doit sans cesse être détourné et corrompu – profané, mais avec quels moyens ? -, qu’un appareil demande une alimentation constante, et qui la lui donne ? ).

Alors cette phrase « My Life is an Interactive Fiction » prend là aussi son sens. Celui de mise à disposition. Oui, ma vie, ma subjectivation, par le biais des mots notamment, n’est que de la fiction, un appareil fictionnel qui demande qu’à être nourrit, un ensemble de dispositifs visuels qui permettent et essayent de tester le réel.
… À disposition de quoi ?

wakeup1

La fabrique du commun au 104, les 26/27/28 mai 2010

Fabrique_du_commun_Julie_morel

Dans le cadre de « la fabrique du commun » organisée par Kom.post et Relais Culture Europe, je suis en train de mettre au point le livret pour le programme, ainsi que la signalétique qui doit à la fois s’intégrer dans le lieu mais aussi s’en démarquer. Il faut qu’elle soit repérable immédiatement par les utilisateurs de la Fabrique du commun qui chercheraient leur chemin – car les lieux pratiqués sont aux 4 coins du 104….
L’ouverture de la fabrique donnera aussi lieu à une conférence Upgrade! Paris, le 26 mai à 16h30 (Atelier 11), avec le collectif 1.0.3, et Benjamin Cadon, Adelin Schweitzer et Cédric Lachasse.

.

sharedfactory

sharedfactory2

Texte + T_T = TxT, du 8 au 30 avril, Galerie de l’école supérieure d’art, Lorient

J’ai reçu hier les invitations que j’ai réalise pour l’exposition TXT qui débutera jeudi 8 avril à la Galerie de l’école des beaux-art de Lorient, et dont j’ai assuré le commissariat. Cette exposition clôture le cycle 2010 des résidences Géographies variables à Lorient (prochaine résidence au printemps 2011).

Seront présentés les travaux de Art of Failure, Christophe Bruno, Collectif 1.0.3, Reynald Drouhin, Derek Jarman, Etienne Pressager, Martha Rosler, Antoine Schmitt, et un espace de consultation d’œuvres vidéos et interactives sur internet.

txt_carton2

txt_carton3

La lettre et le mot sont indissociables des productions de l’art moderne (dadaïsme, futurisme, Sécession viennoise…). L’art contemporain est lui aussi ponctué de travaux d’artistes qui ont utilisé le texte comme support, de Joseph Kosuth à Jenny Holzer, de Lawrence Weiner à Doug Aitken.
Depuis le développement de l’ordinateur, et encore plus avec l’apparition d’internet, le texte qui se contentait auparavant d’investir l’aspect formel de l’œuvre est maintenant présent dans la structure même de celle-ci. Les langages informatiques ont, de par leur nature spécifique (discrète, fragmentaire & modulable, etc.), produit des pièces à l’esthétique particulière qui se sont peu à peu propagée dans les autres domaines des arts visuels.

Cette exposition dresse un panorama non exhaustif et souligne la textualité comme entité commune à – et permettant des passerelles entre – art contemporain & art numérique, design graphique, cinéma d’animation. Elle se développe sous forme de parcours qui prend sa source dans le texte virtuel et structurel pour aller vers le texte image ou en volume.

Résidence Kom.post à la Chartreuse

Du 19 au 23 mars 2010, je suis en résidence invitée par Camille Louis / Kom.post à la Chartreuse – Centre National des écritures du spectacle dans le cadre des sondes.

« Internet, expression contemporaine d’un théâtre global, où tout le monde est susceptible d’être acteur, a comme conséquence la dissolution du quatrième mur du théâtre. Afin de mettre à jour la face cachée des spectacles (les spectateurs), la sonde 03#10 – Spectateur 2.0. propose de mettre en place un dispositif qui permettra de recueillir par la voie électronique (pour cette session, les spectateurs utiliseront Facebook) les regards et analyses de groupes de spectateurs (lycéens, étudiants, …) qui seront présents lors de la sonde 03#10- Chartreuse News Network Session 2. Ces données seront ensuite traitées par Kom.post »

Je participerai donc dans ce cadre à la ré-écriture dramaturgique pour Speech Space #8, une nouvelle lecture et présentation du spectacle « Speech » créé à Berlin en 2009. Pour plus d’infos sur Speech, télécharger le pdf.

speech

From 19 to the 23 march, I am in residency at la Chartreuse – Centre National des écritures du spectacle, taking part in the  sondes projects.

Internet, contemporary expression of a global theater, where everybody may be an actor, has for consequence the dissolution of the fourth wall of the theater. To update the dark side of the shows ( the spectators), the probe 03*10 – Spectator 2.0. Suggest setting up a device which will allow to collect by the electronic way (for this session, the spectators will use Facebook) the glances and the analyses of groups of spectators (high school students, students) who will be present during the Chartreuse news network. The datas will be treated by a collective of artists just after.

WJ-Spot / Vendredi 18 dec. 09 à 18h30, Maison des métallos – Paris

Julie_morel

Dans le cadre de l’entretien que j’ai réalisé pour le hors-série de « Musique Culture Digitale » :
WJ-Spots #1 new publication on « 15 years of artistic creation on the Internet »
WJ-Spots #1 nouvelle publication on « 15 ans de création artistique sur Internet »

> Télécharger l’entretien

Jeudi 17 décembre 2009 / Thursday December 17th 2009, 18h30/20h
Mezzanine de la Maison des Métallos
94, rue Jean-Pierre Timbault
75011 Paris
M° Couronne ou Parmentier

>>> Venez rencontrer les participants à l’événement WJ-SPOTS#1 et découvrir
le Hors série de MCD « 15 ans de création sur Internet »

120 pages, 44 interviews en français et en anglais + 1000 liens internet
http://www.wj-s.org/WJ-SPOTS-1-15-years-of-internet

>>> Come and meet the participants of WJPSOTS#1 and discover the Special edition of MCD on
« 15 years of artistic creation on the Internet »

120 pages, 44 interview in French and in english + 1000 weblinks

http://www.wj-s.org/WJ-SPOTS-1-15-years-of-internet
http://www.digitalmcd.com/

Conférence 16 déc. 2009 – 16h, Musée des Beaux-arts, Orléans

Conférence « Archivés-chavirés » du 16 décembre 2009 – 16h00
École Supérieure d’Arts et de Design / Auditorium du Musée des Beaux-arts, invitation Sophie Monville.

« Le titre choisi pour la conférence renvoie à un projet récent développé au cours d’une résidence d’artiste, questionnant les processus d’archivage, ainsi qu’à une pratique de l’auto-archivage immédiat proche des hypomnemata de Michel Foucault (L’écriture de soi), et à l’intérêt de l’artiste pour les jeux de mots comme embrayeurs de projets. La conférence abordera également l’idée d’une production artistique qui développe des modes relationnels et narratifs sous diverses formes d’extension. »

orleans

Workshop à l’école supérieure des arts et de la communication de Pau, dans le cadre du festival Access

L’archive comme création numérique, festival Access, du 7 au 11 décembre 2009

breveon1

Workshop de Julie Morel – collectif incident.net. Approche théorique et réalisation collective d’une archive numérique dans le cadre du projet pédagogique de l’école supérieure des arts et de la communication de Pau.

L’art numérique a profondément transformé le principe et les modalités de l’écriture. La trace écrite emprunte des supports polymorphes de plus en plus interactifs. L’utilisation des blogs par les artistes au cœur même du processus de création tend à réduire la distance qui sépare la création de l’archivage. Le blog peut être une archive et une œuvre à la fois, une archive en reconstitution permanente sur laquelle le lecteur peut interagir. L’archive n’est plus figée, elle est une interface, un atelier ouvert, un processus de création. A travers cette évolution, on voit émerger une esthétique de l’auto-archivage fondée sur le réseau, l’interactivité, le flux, le fragment, la pluralité des discours.

 

See you there!

Exposition de Noël – au Magasin – CNAC Grenoble, à partir du 6 déc. 09

logo

Je présente « Oz » et « Feel Like my Heart Was Thrown into a Blender and Somebody Switched it on » – ainsi que trois autres dessins de la série « Organs » lors de l’ Exposition de Noël, au Magasin du 6 déc. 2009 au 3 jan. 2010.
Vernissage samedi 5 déc. 2009 à 18h.

oz.jpg

JulieMorel_Organs_blank

MAGASIN – Centre National d’Art Contemporain
Site Bouchayer-Viallet
155 cours Berriat
38000 Grenoble

Géographies Variables – Lauréats

Les résultats de l’appel à projet Géographies Variables, programme d’échanges croisés entre le Québec et la France dont je fais le commissariat et la coordination, sont en ligne !
> http://incident.net/geo/
Les dossiers ont été nombreux et de réels qualités. Les choix ont été difficiles mais souvent naturels : des compromis logiques et des contextes qui ont permis des sélections très sereines.
GeographiesVariables

Nachbilder – Musée des Beaux-arts de Berne, 4 nov. 09, 19h

Relache

Le 4 novembre 2009, à 19h, je présente ma vidéo « relâche » dans le cadre de « Nachbilder« , au Musée des Beaux-arts de Berne.

Sur une invitation de la Galerie Marks Blond – Kino Kunstmuseum Bern.
> Programme

Nachbilder_Programm

Extrait du dossier de presse :

La vidéo « Relâche (une vidéo ascenseur) » est une relecture de « Entr’acte » de René Clair, créée sur un mode d’associations libres à partir des images et des sons originaux. Le résultat diffère cependant radicalement de sa matrice dans son traitement audio-visuel.
Cette vidéo, sous-titrée ironiquement « vidéo d’ascenseur » (comme on parle de musique d’ascenseur), nous présente un plan pris près du sol, qui laisse apercevoir par intermittence, les sandales d’une danseuse qui martèlent le sol jusqu’à le faire trembler légèrement. Ici tout nous parle d’échec : la lourdeur inséparable du désir d’élévation  présente à chaque seconde, la cadence saccadée du mouvement qui ne saurait être fluide, le son amplifié et ralenti à l’extrême, qui frise parfois le grotesque, la répétition d’une seule et même action, ou la trace sombre laissée par l’impulsion.
Les signes qui pourraient exprimer la gaité et l’allégresse sont présents mais inefficaces : les chaussures à paillettes, dignes de celle de Dorothy dans le magicien d’Oz, se rapproche plus d’une vision à la Pipilotti Rist. Le fait de sautiller, reconnaissable mais déformé, est freiné, littéralement.

Les connexions au film de René Clair sont à chercher dans le titre « relâche » (Entracte avait été produit pour un ballet portant ce nom), dans la référence à la danseuse présente à plusieurs moments du film, dans les sautillements de Marcel Duchamp et Picabia, dans les bonds réalisés par la personne prenant part à la procession qui suit le corbillard, dans tous ces mouvements d’élévations qui sont tournés en dérision.

Organs – Galerie Duplex / Graphéine, du 30 oct. au 10 déc.

carton_duplex2

Je présente les dessins de la série « Organs », série développée en 2008-2009, et désormais terminée, à la galerie Duplex, dans le cadre de Graphéine – Pinkpong – Second Round – Réseau d’Art Contemporain de l’Agglomération Toulousaine. Cette exposition accueillera aussi France Dubois & Angela Murr.

« Organs, typographie dessinée, est une déclinaison de mots proches de l’environnement professionnel ou personnel de l’artiste. Cette première forme est le modèle de ce que sera une réelle typographie dans un projet multimédia que Julie Morel mettra en œuvre en 2010. Pour l’instant elle nous offre un rapport, une échelle, un graphisme, loin de toutes définitions de cet art. Et pourtant Organs est bel et bien une typographie dans le sens de l’assemblage ; écrire un roman sous cette forme serait comparable à l’écriture de « La Disparition » de G. Perec (éd.Gallimard). Nous sommes dans le commencement et l’effacement de la lettre, du mot, de la phrase, de la narration. Nous sommes dans une appréhension nouvelle du texte. La lecture en est ainsi rendue fascinante. »

grapheine

Archives

Je suis en résidence aux Archives départementales de la Dordogne, dans le cadre des Résidences de l‘Art en Dordogne, du 1er au 29 septembre. J’y retournerai en février puis en mai, pour développer un projet sur le naufrage.
Une première exposition, où je présenterai une dizaine de pièces déjà réalisées, mais réactivées pour le lieu, s’y tiendra à partir du 28 septembre 09.

See you there!

Briant Summer Camp 09

Je suis jusqu’à fin août à Briant (Bourgogne), pour entreprendre la rénovation de l’atelier de la maison, grâce à l’aide bénévole de pleins de gens et une partie du financement reçu de la DRAC (aide à l’installation). Cet atelier servira de lieu de travail pour les résidences d’incident.net et pour Géographies variables. Une première résidence devrait inaugurer le lieu en décembre !
Les travaux dureront jusqu’au début novembre 2009 (avec une petite interruption en septembre où je serais en résidence aux Archives Départementales à Périgeux – Dordogne).
En attendant, je ne suis pas souvent connectée, mais si vous voulez me joindre, n’hésitez pas à m’envoyez-moi un sms, ou à passer me voir !

Incident.res
Lieu dit « La Goutte »
71 110 Briant

Géographies Variables, c’est parti !

geographies variables
J’ai eu le mois dernier la réponse positive sur le financement d’une partie du projet « Géographies variables » par le Consulat Général de France à Québec et du Ministère des Relations Internationales québécoises.
Ce projet de résidences croisées entre la France et le Québec, permettra, sur deux ans, à une vingtaine d’artistes de partir en résidence dans 8 lieux de ces deux pays, pour produire des travaux sur internet, avec pour base la thématique commune (et volontairement assez large) de « Géographies variables ».

> http://incident.net/geo

Le site internet est en ligne et sera complet dans les prochaines semaines. Et l’appel à participation se fera d’ici la fin juin 2009.
N’hésitez pas à me contacter si vous voulez des infos, ou, si vous êtes au Québec, de contacter la Chambre Blanche qui est le partenaire Québécois d’incident.net sur ce projet !

Intervention @ WJ-S, Saison numérique de la Maison des métallos, 28 mai 2009

Sur une invitation d’Anne Roquigny, je vais prendre part à WJ-S, le 28 mai aux « Immatériels » à la Maison des métallos.

Deux journées d’interventions pendant lesquelles une cinquantaine d’artistes, de critiques,  de penseurs, d’inventeurs, de chercheurs, de commissaires artistiques et d’organisateurs  d’événement français font un point sur 15 années d’existence d’Internet.

Sous un angle artistique, ils commentent, analysent et retracent « l’histoire » du web et la manière dont le réseau  a été investi comme un espace de création (créations en ligne, œuvres collectives, pratiques de téléprésences, net art, online art, software art, code art, ascii art , flash art, google art, art génératif, art interactif, art collaboratif, tactical media, locative media, art telematic, performances en réseau…).
Le public est installé au milieu d’écrans géants : sur un des écrans, il voit la personne interviewée (elle est physiquement présente ou intervient à distance en visio conférence), sur 2 autres écrans il assiste à une navigation en temps réel dans une sélection de sites Internet choisis par chaque intervenant. Une captation vidéo en direct de l’ensemble du dispositif est diffusée sur des moniteurs et retransmise en direct sur Internet. Une multitude de points de vue, une vision augmentée de la pensée.
Dans un premier temps les interviews sont archivées en ligne. Dans un deuxième temps, ces interventions donnent lieu à une première publication, éditée par l’association MCD qui initie une collection d’ouvrages sur la thématique WJ-SPOTS.

« I Scream » à V.O.S.T. , Imal/Nova cinéma Bruxelles, 23 mai

Je participe à V.O.S.T., avec la projection d’une version linéaire de « I scream » (un projet en collaboration avec Jocelyn Cottencin) // I am leaving Thursday for Brussels to participate to the opening of V.O.S.T., where « I scream » (a collaboration with Jocelyn Cottencin) will be screened on the 23rd.

V.O.S.T. OV/OT
http://vost.nl
BRUSSELS: 21-31 MAY09 > iMAL & NOVA

V.O.S.T. OV/OT explore les relations entre le cinéma, l’art vidéo et l’art numérique et prend pour points d’accroche le sous-titre et le doublage. Ces éléments discrets, intermédiaires et fonctionnels de l’industrie du cinéma apparaissent comme des brèches par lesquelles les artistes détournent et s’approprient les films. Cette programmation bruxelloise donne une place centrale aux questions du langage, de la transcription et de la traduction.

Avec :  Martin Arnold, Armel Barraud, Pierre Bismuth, Frederico Camara, Jordi Colomer, Christoph Draeger, Reynald Drouhin, Yan Duyvendak, Omer Fast, Xavier Gautier, Pierre Huyghe, Kuda.org, Florence Lazar, Danilo Mandic, Julie Morel & Jocelyn Cottencin, ProjectSinge, Nicolas Provost, RYbN, Anri Sala, Keith Sanborn, Antoine Schmitt, Peter Tscherkassky, Virgil Widric.
Commisaires : Alexis Chazard & Marika Dermineur.

*Exposition à iMAL, du jeudi 21 au dimanche 31 mai*
*Projections/Performances au Nova Cinema, samedi 23 mai, 20h-minuit*

/ INFOS PRATIQUES

iMAL (Center for Digital Cultures and Technology)
30 Quai des Charbonnages, 1080 Bruxelles
– Metro Comte de Flandre, Tram 51
du 21 au 31 mai 2009
Vernissage : jeudi 21 mai
contact : +32 (0)2 410 30 93 – http://www.imal.org/

Nova Cinéma
soirée V.O.S.T. OV/OT/
3 rue d’Arenberg, 1000 Bruxelles
– Metro Gare Centrale – Bourse
Samedi 23 mai, 20h-minuit
Entrée payante
contact : +32 (0)2 511 27 74 – http://www.nova-cinema.org/

Code Source

Rendez-vous du 16 mai au 14 juin 2009 / 20ème édition du Festival International de l’Affiche et du Graphisme de Chaumont.
J’y présente, dans le cadre de l’exposition « Code Source« , sur une invitation d’Étienne Mineur, le projet réalisé avec Jocelyn Cottencin « I Scream, You Scream, We all Scream for an Ice Cream… »

I scream, Julie Morel & Jocelyn Cottencin, Chaumont

2009 may, 16th / june, 14th / 20th International Poster and Graphic Arts, Festival of Chaumont
During the exhibition « Code Source« , curated by Étienne Mineur, I will show the project produced with Jocelyn Cottencin « I Scream, You Scream, We all Scream for an Ice Cream… »
See you there!

Mapping Festival

En fin de semaine prochaine, je me rends au Mapping festival – Visual Audio Festival, à Genève, avec Marika Dermineur, pour présenter incident.net le vendredi 15 au Centre d’art Contemporain… Ce sera l’occasion de montrer ce qui a été fait dans les hors-séries au fil des années. De parler de The Upgrade! D’incident.res, de VOST… et ensuite d’aller danser le soir, une éternité ! : )

> See you there